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LA CURE DE DIEU POUR GUÉRIR LA SOLITUDE DE L’HOMME GOD’S CURE FOR MAN’S LONELINESS Par le Dr. R. L. Hymers, Jr. Sermon prêché au Baptist Tabernacle de Los Angeles, |
J’ai été membre de la Première Église Baptiste Chinoise de Los Angeles pendant vingt trois ans. Mon pasteur était alors le Dr. Timothy Lin. Avant de venir comme pasteur dans cette église, il enseignait les langues de la Bible et la théologie à Bob Jones University. Beaucoup de ce que je connais aujourd’hui m’a été enseigné par le Dr Lin dans cette Église Chinoise, telle qu’elle était alors.
Il m’a enseigné de nombreuses choses sur la prédication. Il disait,
Parmi toutes les tâches pastorales, la plus difficile pour le pasteur, et la plus importante est de savoir, sans l’ombre d’un doute, le message que Dieu veut qu’il prêche le dimanche… Quelque fois, même le jeudi, le message n’est pas encore bien défini. Si c’est le cas, alors le pasteur doit jeûner et prier avec ferveur… notre conscience spirituelle est bien souvent grande ouverte dès que nous commençons à jeûner et prier, et le message que Dieu veut pour son Église devient claire comme du cristal. Et quand j’écris cela, je parle de ma propre expérience (Timothy Lin, Ph.D., Le secret de la croissance de l’Église, The Secret of Church Growth, First Chinese Baptist Church, 1992, p. 23).
Récemment, Dieu a été bon pour nous. Il m’a donné un sermon après l’autre, sans aucune difficulté. Il me semble même très facile de savoir ce que je dois prêcher le dimanche matin, le dimanche soir, et même le samedi soir ! Plusieurs pasteurs m’ont demandé, « Comment pouvez-vous prêcher trois sermons différents chaque semaine, et continuer à retenir l’attention des gens ? » Tout ce que je peux dire, c’est que je ne peux le faire que par la grâce de Dieu ! Je pense aussi que cette facilité à connaître le sujet de la prédication vient du fait que nous jeûnons et prions tous les samedis. Jeûner et prier tous les samedis a non seulement amené la bénédiction de Dieu sur notre église, mais aussi m’a permis de connaître très facilement ce que je dois prêcher !
C’est ce qui est arrivé la semaine dernière. J’ai passé un long moment à travailler sur le sermon du dimanche soir, et pourtant, je n’avais aucune idée sur ce que je devais prêcher le dimanche matin. Mais Dieu semblait me dire, « Ne t’inquiète pas. Dès que tu auras fini d’écrire le sermon du dimanche soir, je te montrerai quoi prêcher le dimanche matin. » Que Dieu soit loué ! Et c’est exactement ce qui s’est passé.
Dès que j’ai fini le sermon du dimanche soir, Dieu m’a montré le sujet sur lequel Il voulait que je prêche le dimanche matin. Voilà comment cela s’est passé : j’avais fini d’écrire le sermon du soir et je suis allé à la salle à manger pour prendre mon déjeuner de midi. J’ai l’habitude de regarder les nouvelles sur Fox News quand je déjeune. Après avoir j’ai allumé la télévision, je suis tombé sur une autre chaîne, que je ne regarde habituellement jamais. Mais à ce moment-là, George Beverly Shea chantait,
L’horloge égraine les heures, et
Les nouvelles d’un jour qui vient de finir.
Quelqu’un a glissé, quelqu’un est tombé,
Ce quelqu’un, était-ce vous ?
Vous avez demandé plus de force,
Plus de courage pour la tâche à faire
Ne soyez pas découragé,
J’ai de bonnes nouvelles pour vous.
Ce que Dieu peut faire, n’est pas tenu secret,
Ce qu’Il a fait pour les autres,
Il le fera aussi pour vous.
Les bras grands ouverts, Il vous pardonnera,
Ce que Dieu peut faire, n’est pas tenu secret.
« Ce que Dieu peut faire, n’est pas tenu secret » (It Is No Secret)
par Stuart Hamblen, 1908-1989).
Mon épouse est venue écouter Mr Shea chanter. Puis Billy Graham est venu et a commencé à prêcher. C’était une vieille vidéo, faite à Denver, au Colorado en 1988. Je ne savais même pas que cette émission était sur la télé avant d’allumer le poste. Mr. Graham a commencé à prêcher son grand sermon sur la solitude de l’homme. Immédiatement, Dieu me dit de prêcher sur ce même sujet pour ma prédication de ce matin ! Et cela me fut confirmé quand mon épouse me dit, « Robert, il faut que tu prêches sur ce sujet-là dimanche prochain au culte du matin. » Mme Hymers ne me dit que très rarement ce que je dois faire à l’église – vraiment très rarement. Quand elle le fait, je l’écoute toujours. J’ai trouvé qu’elle a toujours raison quand elle me donne son avis. Alors, je vais partager avec vous ma version du sermon bien connu du pasteur Billy Graham sur la solitude.
Veuillez vous lever et ouvrir votre Bible au Psaume 102:6-7.
« Je suis comme le pélican du désert ; je suis comme la chouette des lieux sauvages. Je veille, et je suis comme un passereau solitaire sur le toit » (Psaume 102:6-7).
Veuillez vous assoir. Le Dr. John Gill (1697-1771) a donné un bon commentaire sur ces versets. Il explique,
Les maisons des Juifs avaient des toits plats, où les oiseaux qui vivent en solitaire venaient se poser, souvent la nuit. Le psalmiste se compare à eux. Il traversait un moment de solitude, soit parce qu’il avait été abandonné par ses amis, ou par des personnes qui le connaissaient ; ou alors, tout simplement, il se sentait seul, et partageait sa tristesse et la mélancolie que lui suggérait sa condition (John Gill, D.D., Une explication de l’Ancien Testament, An Exposition of the Old Testament, The Baptist Standard Bearer, réimprimé en1989, volume IV, p. 127; note sur le Psaume 102:6-7).
« Je suis comme le pélican du désert ; je suis comme la chouette des lieux sauvages. Je veille, et je suis comme un passereau solitaire sur le toit » (Psaume 102:6-7).
Beaucoup de jeunes gens et de jeunes filles ressentent ce sentiment – aussi seul qu’un pélican dans le désert, ou une chouette dans les lieux arides. Il est facile de trouver aujourd’hui des jeunes lycéens ou universitaires, qui se sentent aussi solitaires qu’un passereau au faîte du toit d’une maison. Je suis dans le ministère auprès des jeunes de cet âge depuis plus de cinquante quatre ans. J’ai trouvé qu’un très grand nombre d’entre eux expérimentent une terrible solitude intérieure. L’un d’eux m’a dit une fois,
Je voudrais être un être spécial pour quelqu’un, mais personne ne se soucie vraiment de moi. Je ne me souviens pas de quelqu’un qui soit venu me toucher, me sourire, ou qui simplement désire ma compagnie…Je suis tellement seul que je peux à peine le supporter (cité par Josh McDowell, La génération déconnectée, The Disconnected Generation, Word, 2000, p. 11).
C’est ce que des milliers de jeunes expérimentent tous les jours. Le Dr. Leonard Zunin, un psychiatre très connu, a dit, « Le pire problème de l’humanité est la solitude. » Le psychologue Erich Fromm disait, « Le besoin fondamental de l’homme est celui de vaincre ce sentiment de séparation, de quitter cette prison intérieure solitaire qui le sépare du reste. »
Et il n’y a pas d’endroit plus solitaire pour un jeune qu’une grande ville comme Los Angeles. L’auteur Herbert Prochnow disait, « Une ville est une large communauté où les gens sont tous seuls, bien qu’ensemble. » Un étudiant chinois a dit une fois, « Personne ne me comprend. Depuis le moment où je me réveille le matin, jusqu’à ce j’aille me coucher le soir, je me sens seul. » Avez-vous jamais ressenti ce sentiment ? N’avez-vous jamais le sentiment que personne ne se soucie de vous ? N’avez-vous jamais le sentiment que personne ne vous comprend, ou sympathise avec vous ? N’avez-vous jamais le sentiment que vous êtes seul, même dans une foule ? J’ai entendu des jeunes dire qu’ils vont parfois marcher dans des centres commerciaux, juste pour être avec d’autres personnes et sortir de leur solitude. Mais cela ne sert à rien ! Ils se sentent toujours seuls dans une foule de gens heureux. Ils voient les autres rirent et s’amuser, mais ils ne peuvent s’échapper de la solitude de leur prison intérieure.
Le Dr. Lin parlait souvent de la « solitude de la jeunesse. » Il la comprenait si bien, il en parlait si souvent que je sais qu’il avait dû passer par là lui aussi en Chine, quand il était un jeune étudiant à l’université, loin de chez lui. Et qu’en est-il de vous ? N’avez-vous jamais expérimenté ce sentiment de solitude, ce sentiment que personne ne vous veut ?
L’auteur de romans à succès, et prix Nobel, Ernest Hemingway (1899-1961) avait vraiment tout ce que l’argent peut acheter. John Kennedy l’avait invité à prononcer une allocution pour son inauguration en tant que Président des États Unis. Mais il n’a pu y répondre, car il était dans un trop grande dépression. Il a dit qu’il était si déprimé qu’il se sentait comme « une ampoule grillée dans un poste de radio » (de son temps, les radios avaient de grosses ampoules pour les faire marcher). Quelque temps plus tard il choisit de se suicider. Lorsque ma famille est moi sommes allé à Key West, en Floride, nous avons visité la maison où il avait écrit près de 75% de ses romans et recueils de courtes histoires. Pendant qu’Ileana (mon épouse) et les garçons allaient visiter un autre endroit, je retournai à la maison d’Hemingway. C’était la fin de l’après midi. C’était une expérience qui me donne encore froid dans le dos. On aurait dit que, des murs de la maison, suintaient la dépression et la solitude. Une impression totalement démoniaque se diffusait tout alentour, un lieu d’où toute espérance et toute joie étaient absentes, et je pense qu’un homme pourrait devenir fou dans un tel environnement. Quelques années plus tard, à Ketchum, en Idaho, Hemingway prit une carabine et se fit sauter la cervelle. Une année, nous aussi étions en vacances à Ketchum, et je pouvais de nouveau sentir les démons de la solitude qui le hantaient et qui l’avaient finalement tué. Un de ses biographes a dit, « Sa mort, dans toute son horreur sanglante, reste un souvenir qu’on ne peut oublier. » (Kenneth S. Lynn, Hemingway, Harvard University Press, 1987, p. 593). Personnellement, je n’ai jamais pu l’oublier.
Savez-vous que le suicide est la deuxième cause de mortalité des jeunes en dessous de vingt cinq ans ? Autrefois, quand j’étais à l’école, j’ai eu un ami qui a pris sa vie de la même manière qu’Ernest Hemingway. Il s’est tiré une balle dans la tempe. Sa mère m’a dit plus tard que j’avais été son seul ami. Ce qui a tourmenté ma conscience pendant des années, car je n’avais pas fait assez pour lui. Je ressentais comme si je l’avais tué parce que je ne l’avais pas amené à l’église. Je vous en prie, ne faites pas la même erreur que moi. Amenez tous vos amis entendre l’Évangile ! Je le répète – amenez les tous, chacun de vos amis, pour entendre la prédication de l’Évangile ! Alors vous n’aurez jamais aucun regret ! « Aidez quelqu’un aujourd’hui. » Chantons-le !
Aujourd’hui aidez quelqu’un, une personne sur votre chemin,
De toute votre amitié, pour en finir avec sa solitude,
Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui !
« Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui ! » (Help Somebody Today)
par Carrie E. Breck, 1855-1934; modifié par le Pasteur.
Mon ami, le Dr. John S. Waldrip est pasteur. Un jour, il a raconté son expérience, quand il était jeune. Il a dit,
Une fois, j’étais dans un bar de nuit qui regorgeait de jeunes hommes et de jeunes femmes. Et je me trouvais dans cette salle, remplie d’une large foule, complètement seul et entièrement déconnecté de tous… Nous remplissons nos agendas d’évènements, du matin au soir, mais malgré toute cette activité, nous ne connectons que très rarement avec quelqu’un. Nous sommes devenus beaucoup plus une société de connaissances, et que d’amis (John S. Waldrip, Th.D., « Guérison pour le cœur solitaire, » (Cure for the Lonely Heart,) 2 mai 2004).
Il n’est pas étonnant que beaucoup de jeunes se sentent comme le psalmiste !
« Je suis comme le pélican du désert ; je suis comme la chouette des lieux sauvages. Je veille, et je suis comme un passereau solitaire sur le toit » (Psaume 102:6-7).
« Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui ! » Chantons-le !
Aujourd’hui aidez quelqu’un, une personne sur votre chemin,
De toute votre amitié, pour en finir avec sa solitude,
Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui !
Mais Dieu ne veut pas que vous soyez seul. Dans le Jardin d’Eden Il a dit, « ll n’est pas bon que l’homme soit seul » (Genèse 2:18). Le poète chrétien John Milton (1608-1674) disait, « La solitude est la première chose que l’œil de Dieu a vu qu’Il a jugée mauvaise. » C’est aussi vrai aujourd’hui qu’à son époque. Dieu ne veut pas que vous soyez seul. Il a dit, « ll n’est pas bon que l’homme soit seul » – ou la femme d’ailleurs ! C’est pour cela que Dieu nous donne deux cures pour la solitude.
I. Premièrement, Dieu a envoyé Son Fils mourir sur la Croix pour guérir votre solitude spirituelle et votre aliénation.
Quand nos premiers parents ont péché, ils se sont immédiatement retrouvés séparés de Dieu, coupé de Sa présence. Adam s’est immédiatement caché (Genèse 3:10). Adam et sa femme furent chassés du Jardin d’Eden à cause de leur péché. Ils furent coupés de la communion dont ils jouissaient avec Dieu. La Bible enseigne que leur nature pécheresse passa ensuite à leurs descendants, et à toute la race humaine. C’est pour cette raison que Dieu semble irréel pour vous. Le péché vous sépare de Dieu. La Bible dit,
« Mais ce sont vos iniquités qui ont fait séparation entre vous et votre Dieu, et vos péchés ont fait cacher de vous sa face » (Ésaïe 59:2).
Même aujourd’hui, les gens errent dans le monde sans Dieu et sans espérance. H. G. Wells (1866-1946) disait, « J’ai soixante cinq ans, et je suis seul, et je n’ai jamais trouvé la paix. » Mais Dieu ne veut pas que vous soyez dans cette condition. Dieu veut restaurer votre communion avec Lui. C’est pour cette raison qu’Il a envoyé Jésus mourir sur la Croix, pour que vos péchés puissent être pardonnés et que vous puissiez être restaurés auprès de Lui. La Bible dit,
« … Nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils ; à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie » (Romains 5:10).
Quand vous venez à Jésus par la foi, vos péchés sont pardonnés car Il est mort à votre place sur la Croix – et vous êtes réconcilié avec Dieu ! Et Jésus est physiquement ressuscité des morts pour vous donner la vie éternelle. Venez à Jésus par la foi et Il vous sauvera du péché et votre aliénation d’avec Dieu. Je veux parler à chacun de vous ici, qui désire mettre sa confiance en Jésus et être sauvé. « Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui ! » Chantons-le !
Aujourd’hui aidez quelqu’un, une personne sur votre chemin,
De toute votre amitié, pour en finir avec sa solitude,
Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui !
II. Deuxièmement, Dieu nous a donné l’église locale pour guérir notre solitude émotionnelle.
Je ne crois pas que Dieu veuille vous sauver pour vous laisser seul ensuite dans ce monde froid et inhospitalier. J’aime la prédication de Billy Graham, mais je crois qu’il n’en a pas dit assez. Il dit de mettre sa confiance en Christ et être sauvé de l’aliénation spirituelle et de la solitude, mais il devait en dire plus. Il devait dire que Christ est aussi venu pour établir Son Église pour vous sauver de la solitude émotionnelle. Christ a dit,
« … Je bâtirai mon église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle » (Matthieu 16:18).
Dieu a donné l’église locale comme un lieu de communion et de joie avec les frères et sœurs – un lieu où votre solitude émotionnelle peut être guérie. « Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui ! » Chantons-le !
Aujourd’hui aidez quelqu’un, une personne sur votre chemin,
De toute votre amitié, pour en finir avec sa solitude,
Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui !
Quand vous recevez votre diplôme de fin d’étude du lycée ou de l’université, tout le monde dit, « On gardera le contact ! » ou « On se verra bientôt ! » Mais cela n’arrive jamais. Si vous les revoyez 40 ou 50 ans plus tard – c’est à peine si vous les reconnaissez ! Mais vous ne quittez jamais votre église locale, parce que même quand vous mourrez, vous vous retrouvez au Ciel ! C’est pour cela que j’ai écrit ce chant que Mr. Griffith a chanté il y a un moment,
Les gens des grandes villes ne semblent pas se soucier;
Car ils ont peu à offrir et peu d'amour à donner.
Mais viens à Jésus et tu verras qu'avec Lui,
La nourriture est sur la table et l'amitié partagée !
Viens à la maison - l'église - prendre ton repas,
Tous rassemblés pour ce moment de grâce.
Alors, ce sera un vrai bonheur, ici ou au Ciel,
Quand nous serons tous à table, ensemble !
(« Viens dîner à la maison. » (Come Home to Dinner)
par le Dr. R. L. Hymers, Jr., sur la mélodie de
« Sur les Ailes d'une Colombe » (On the Wings of a Dove).
Chantons le refrain ensemble !
Viens à la maison - l'église - prendre ton repas,
Tous rassemblés pour ce moment de grâce.
Alors, ce sera un vrai bonheur, ici ou au Ciel,
Quand nous serons tous à table, ensemble !
Mais ce n’est pas ce qui va guérir votre solitude, si vous venez seulement pour une heure ou deux le dimanche matin ! Ô, non ! C’est pour cela que beaucoup d’églises ne peuvent gagner le cœur des jeunes qui sont dans le monde, parce qu’elles ferment leurs portes pour le service du dimanche soir ! Je ne peux pas penser à quelque chose de plus insensé ! Ne voient-ils pas que c’est ce qui a tué les larges églises confessionnelles ? C’est ce qui a tué les Méthodistes, et les Presbytériens. Et cela tuera aussi ces églises Baptistes assez insensées pour ne pas offrir de services les dimanches soirs ! Cela ne tuera pas votre église tout de suite, mais sur plusieurs décennies, certainement. Les jeunes doivent pouvoir revenir à l’église le dimanche soir ou leur solitude ne pourra être guérie. Et ils ont besoin de se retrouver ensemble les samedis soirs également. Le Dr. Lin avait l’habitude de dire, « Faites de votre église votre deuxième maison. » Et il avait raison. C’est pour cela que nous avions des centaines de jeunes Chinois qui accouraient à l’église quand il en était le pasteur. Le Réveil est venu, et l’église chinoise ressemblait à l’église à Jérusalem. Ils « louaient Dieu et avaient la faveur de tout le peuple. Et le Seigneur ajoutait chaque jour à l’église ceux qui devaient être sauvés » (Actes 2:47).
Et je voudrais ajouter : Si vous voulez vraiment que cette église guérisse votre solitude, amenez quelqu’un avec vous la prochaine fois que vous venez ! Oui ! Amenez un ami ou un quelqu’un de votre famille avec vous la prochaine fois que vous venez – peut être même ce soir ! Un jeune Chinois, qui était ici depuis peu de temps, m’a entendu le dire dimanche dernier, au culte du matin. Il a amené un ami avec lui quand il est revenu au culte du soir ! C’est comme cela qu’on guérit de sa solitude. Commencez d’abord à aider quelqu’un d’autre ! La première chose que Jésus a dit à Ses disciples était, « Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d’hommes » (Matthieu 4:19). Allez à la pêche cet après midi ! Allez chercher un ami ou un parent pour venir avec vous ce soir – ou dimanche prochain, au plus tard ! « Je vous ferai pêcheurs d’hommes. » Chantons-le !
Je vous ferai pêcheurs d’hommes,
Pêcheurs d’hommes, pêcheurs d’hommes,
Je vous ferai pêcheurs d’hommes,
Si vous me suivez.
Si vous me suivez, si vous me suivez ;
Je vous ferai pêcheurs d’hommes,
Si vous me suivez.
« Je vous ferai pêcheurs d’hommes » (I Will Make You Fishers of Men)
par Harry D. Clarke, 1888-1957.
Quand vous vous occuperez à amener les autres avec vous, vous n’aurez plus le temps d’être seul !
Combien d’entre vous diront : « Oui, je vais le faire ! Oui, j’amènerai quelqu’un avec moi pour entendre l’Évangile la prochaine fois que je viens ! » Veuillez lever la main, et le Dr. Chan viendra prier pour que Dieu vous aide à le faire (prière).
Chantons encore ce chant !
Je vous ferai pêcheurs d’hommes,
Pêcheurs d’hommes, pêcheurs d’hommes,
Je vous ferai pêcheurs d’hommes,
Si vous me suivez.
Si vous me suivez, si vous me suivez ;
Je vous ferai pêcheurs d’hommes,
Si vous me suivez.
Amenez quelqu’un qui viendra avec vous pour s’amuser comme à un anniversaire - partager le lunch ou le dîner – et entendre l’Évangile ! « Viens à la maison. » Chantons le refrain une fois de plus !
Viens à la maison - l'église - prendre ton repas,
Tous rassemblés pour ce moment de grâce.
Alors, ce sera un vrai bonheur, ici ou au Ciel,
Quand nous serons tous à table, ensemble !
Mon Dieu, aide-les à le faire ! Au nom de Jésus. Amen. « Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui ! » Chantons-le encore !
Aujourd’hui aidez quelqu’un, une personne sur votre chemin,
De toute votre amitié, pour en finir avec la solitude,
Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui !
(FIN DU SERMON)
Vous pouvez lire les sermons du Dr. Hymers chaque semaine sur internet à
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Écriture lue avant le sermon par le Dr. Kreighton L. Chan : Psaume 102:1-7.
Solo chanté avant le sermon par Mr. Benjamin Kincaid Griffith :
« Viens dîner à la maison. » (Come Home to Dinner) par le Dr. R. L. Hymers, Jr.,
sur la mélodie de « Sur les ailes d'une colombe » (On the Wings of a Dove)/
« Je vous ferai pêcheurs d’hommes » (I Will Make You Fishers of Men) par
Harry D. Clarke, 1888-1957/ « Ô, aidez quelqu’un aujourd’hui ! » (Help
Somebody Today) par Carrie E. Breck, 1855-1934; modifié par le Pasteur.
BREF APPERÇU DE LA CURE DE DIEU POUR GUÉRIR LA SOLITUDE DE L’HOMME Par le Dr. R. L. Hymers, Jr. « Je suis comme le pélican du désert ; je suis comme la chouette des lieux sauvages. Je veille, et je suis comme un passereau solitaire sur le toit » (Psaume 102:6-7). (Genèse 2:18) I. Premièrement, Dieu a envoyé Son Fils mourir sur la Croix pour guérir II. Deuxièmement, Dieu nous a donné l’église locale pour guérir notre Note du traducteur : Les citations bibliques proviennent de la version Louis Segond 1910 (libre de droits) et de la Bible KJV (King James Version) ou KJF (en français) – (Traduction en Français, basée sur les textes originaux, le Texte Massorétique Hébreu pour l’Ancien Testament et le Texte Reçu Grec [Texte Majoritaire] pour le Nouveau Testament [2006]). |